Bonjour tout le monde.
J'ai une question un peu étrange, à laquelle je n'ai pas trouvé de réponse.
Dans le cas du décès de la maman, le veuf qui se retrouve avec plusieurs enfants à charge, qu'en faisait-il?
Les avait il avec lui et les laissait seuls à la maison pendant qu'il travaillait, les confiait il aux grands parents ou il les abandonnait?
Je me pose cette question car comme beaucoup j'imagine, j'ai des couples dans lesquels l'épouse décède en laissant 3-4 enfants derrière elle. Et à chaque fois, je ne trouve plus aucune trace de ces enfants (mariage, décès ...).
Si quelqu'un à une réponse à cela...
Cordialement,
Gardes des enfants 17 et 18ème siècle
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Bonsoir,
On ne peut pas répondre à un cas particulier.
Mais, généralement les enfants étaient pris en charge par la famille, sœurs, parents, belle sœurs, en attendant que l'on remarie le veuf !.
J'ai 4 cas, dans ma famille proche, entre 1914 et 1960.
On ne peut pas répondre à un cas particulier.
Mais, généralement les enfants étaient pris en charge par la famille, sœurs, parents, belle sœurs, en attendant que l'on remarie le veuf !.
J'ai 4 cas, dans ma famille proche, entre 1914 et 1960.
Cordialement
Henri
Je ne réponds pas aux sollicitations par messagerie concernant, les discussions du forum.
Henri
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Bonjour
la plupart du temps, le veuf se remariait - très rapidement -
et très souvent avec une veuve (qui, très souvent aussi, avait des enfants)
Cordialement
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et très souvent avec une veuve (qui, très souvent aussi, avait des enfants)
Cordialement
Marie Louise
Mon blog : Mes petites histoires de Marseille et de Provence
http://provenceetmoi.canalblog.com/
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Bonjour,
jusqu'au siècle dernier, on ne mettait pas les séniors en maison de retraite. On les gardait chez soi et ils s'occupaient des enfants.
Dans toute la littérature on décrit la grand mère près du feu, le grand père sur le banc dans le jardin et les gamins autour....
Cordialement
Brigitte
jusqu'au siècle dernier, on ne mettait pas les séniors en maison de retraite. On les gardait chez soi et ils s'occupaient des enfants.
Dans toute la littérature on décrit la grand mère près du feu, le grand père sur le banc dans le jardin et les gamins autour....
Cordialement
Brigitte
Modératrice bénévole sans lien de subordination avec généanet.
Mes relevés des Vaudois du Luberon :
https://gw.geneanet.org/essaisbrigitte
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"A l'an que vèn, e se sian pas mai que siguen pas mens"
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Bonjour
Selon l'âge des enfants au décès de la mère, on peut avoir également le cas où les aînés restent avec le père et s'occupent des plus jeunes. Ou le contraire, s'ils ont 13 ou 14 ans le père les place chez un patron . Comme il a été dit, les cas des enfants élevés par la famille, tantes, grands-parents pouvaient être la solution, et les remariages fréquents...c'est étonnant que vous n'en n'ayez pas retrouvé la trace.
Mais au XVII comme maintenant, la même situation peut engendrer de multiples possibilités.
Cordialement
Selon l'âge des enfants au décès de la mère, on peut avoir également le cas où les aînés restent avec le père et s'occupent des plus jeunes. Ou le contraire, s'ils ont 13 ou 14 ans le père les place chez un patron . Comme il a été dit, les cas des enfants élevés par la famille, tantes, grands-parents pouvaient être la solution, et les remariages fréquents...c'est étonnant que vous n'en n'ayez pas retrouvé la trace.
Mais au XVII comme maintenant, la même situation peut engendrer de multiples possibilités.
Cordialement
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Les mariages des veufs étaient très rapides, en cas de remariage avec une veuve parfois un des fils du premier lit épousait en même temps que son père se remariait, la fille de sa nouvelle belle mère.
Les Contrats de mariage étaient couplés et chacun des membres du couple des parents donnait à son enfant qui se mariait la moitié de ses biens, était ajouté au contrat des clauses sur l'habitation, un "membre" (une aile, un appartement, et le plus souvent la cuisine où il y avait le feu) de la maison était réservé au vieux couple qui avait le droit de prendre son potage au potager, un certain nombre de cestiers de châtaignes, de noix etc... par an, le jeune couple travaillait la terre avec le couple parental, je suppose que la moitié restante aux mariés (veufs précédemment) était pour la subsistance (et la légitime) des enfants des deux couples précédents.
Ainsi le double mariage répartissait les richesses (plutôt les pauvres biens) de façon équitable entre les enfants des deux couples le vieux et le jeune.Et les autres enfants non mariés vivaient avec les deux couples.
Souvent une émancipation du fils suivait ces contrats et les testaments des conjoints montraient comment se transmettait l'héritage.
Il s'agissait d'une solidarité matérielle entre les générations, mais cela liait l'individu à sa famille : Le mariage ce sont des familles qui s'allient plus que des individus qui se choisissent.
Fréquent en Ardèche
Cordialement
Dominique
Les Contrats de mariage étaient couplés et chacun des membres du couple des parents donnait à son enfant qui se mariait la moitié de ses biens, était ajouté au contrat des clauses sur l'habitation, un "membre" (une aile, un appartement, et le plus souvent la cuisine où il y avait le feu) de la maison était réservé au vieux couple qui avait le droit de prendre son potage au potager, un certain nombre de cestiers de châtaignes, de noix etc... par an, le jeune couple travaillait la terre avec le couple parental, je suppose que la moitié restante aux mariés (veufs précédemment) était pour la subsistance (et la légitime) des enfants des deux couples précédents.
Ainsi le double mariage répartissait les richesses (plutôt les pauvres biens) de façon équitable entre les enfants des deux couples le vieux et le jeune.Et les autres enfants non mariés vivaient avec les deux couples.
Souvent une émancipation du fils suivait ces contrats et les testaments des conjoints montraient comment se transmettait l'héritage.
Il s'agissait d'une solidarité matérielle entre les générations, mais cela liait l'individu à sa famille : Le mariage ce sont des familles qui s'allient plus que des individus qui se choisissent.
Fréquent en Ardèche
Cordialement
Dominique