Comme j'ai dit, pas beaucoup de souvenir... il faut dire que vers la fin des années 50 et début des années 60, que de changements dans plein de domaines.
Je m'en rends compte en regardant de vieux films sur youtube.
Comme j'ai dit, pas beaucoup de souvenir... il faut dire que vers la fin des années 50 et début des années 60, que de changements dans plein de domaines.
Logique, à Paris il y avait certainement les WC raccordés à l'égout alors qu'à la campagne, il y avait "la cabane au fond du jardin" surplombant un gros trou, ou un vrai WC à l'intérieur de la maison raccordée à la fosse septique. Et on ne pouvait pas jeter n'importe quoi dans la fosse !dbassanobarat skrev: ↑27 mars 2021, 20:18 A la campagne chez ma marraine et chez mes grands mères du papier journal.
Un trou sur une planche dans ce qu'on appelait "le chai" avec une sorte de cuvette en porcelaine dessous et un clou pour accrocher les pages de Sud-Ouest de la semaine précédente, je m'en souviens très bien, on voyait le nuages par le haut de la porte, je trouvais cela poétique !...
A Paris on avait des feuilles (pas des rouleaux) de papier Q ... mais les cabinets à la turque (qui m'angoissaient) étaient sur le pallier . On apportait ses feuilles dans la poche de son tablier à chaque fois qu'on avait un besoin et fallait pas traîner il y avait cinq "logements " à utiliser les cabinets, il ne fallait pas non plus "s'enfermer dehors", mais la bignole avait le double de chaque locataire ! Il fallait tirer la chasse avec une chaîne qui faisait un bruit d'enfer.
La grande époque du mal logement (l'hiver de l'abbé Pierre 1953), nous avions l'eau dans la chambre de 14 m2 qui servait de salon, de cuisine (réchaud à gaz), de chambre et de chambre d'enfant (c'était moi l'enfant née en 1947), l'évier avec une cuvette pour la toilette, le miroir trois faces pliant pour se raser accroché par une chaînette à la fenêtre pour mon père, j'avais une grande bassine de zinc qui servait pour le linge mais aussi pour me baigner une fois par semaine quand j'étais toute petite , après (vers 52) on allait aux bains douches municipaux le grand luxe, mais cher.
Ceci dit on se lavait à fond, on était propre et il y avait "l'eau de Cologne saint Michel" pour sentir bon.!
Cordialement
Dominique