En plein dans ma rédaction généalogique je me retrouve confronté à un gros point d'interrogation: ce cousin était-il, ou pas, gendarme?
Réalité, erreur d'écriture de l'agent de l'Etat-civil, voire fake municipal?

Voici les faits:
Victor Joseph Pelzin, né le 7 mars 1841 à Monêtier-Allemont épouse Suzanne Duchêne le 2 février 1868 à Ventavon. A moins d'avoir mal lu l'acte de mariage n°3 (NMD Ventavon 2E 183/6/2 Mariages 1863-1872 p. 34/63), je lis que Victor Joseph exerce la profession de cultivateur.
Ça, c'est une chose !
Nota: je n'ai pas trouvé, le concernant, de registre matricule. Ce qui aurait pu aider...
Lorsque Victor Joseph décède le 5 janvier à Abriès, sur son acte de décès (NMD Abriès 2E 1/11/1 décès 1877-1883 p. 8/61) il est dit que... Victor Joseph Pelzin, âgé de trente huit ans, gendarme, domicilié en cette commune, fils de Victor et de Virginie Roche, Epoux de Suzanne Duchêne, est décédé à deux heures du soir, dans la caserne de gendarmerie."

Bon ! Qu'il soit décédé dans une caserne de gendarmerie n'indique pas qu'il est gendarme. Ensuite, lorsque l'on lit les pedigrees des témoins déclarant le décès, ils sont dits cultivateurs.
Si un gendarme était décédé dans une caserne de gendarmerie, les déclarants seraient des gendarmes. Non ? Ou alors je marche sur la tête.

D'autant que je m'interroge derechef.
Comment un homme, cultivateur de profession, du moment où il a commencé à travailler jusqu'à 1878, en sus claironné sur tous les actes qu'il est cultivateur, devient soudainement, par l'opération du Saint Esprit, un gendarme au jour de son décès?
Là, j'ai un bug!
Si les honorables membres du forum ont une suggestion, voire une piste ou une solution, je suis attentif et sais gré des réponses proposées.
Merci par avance de votre aide.
Cordialement
pzn