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Aide à l'indexation des inventaires de Me Claude Trouvé (1584 à 1606)

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Inventaires de Claude Trouvé - AN ET-CVII-98 (1594-1598)

[...]
429 JD
441 JD

444 B
448 Ch
453 Ch

456 Ch
477 Ch

488 B
494 JD
510 JD

513 Ch
546 Ch


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Inventaires de Claude Trouvé - AN ET-CVII-99 (1599-1606)

1 Ch
103 Ch

111 JD
118 JD

120 JD
125 JD

133 JD
137 JD
155 Ch
163 Ch

166 Ch
174 Ch

195 Ch
236 Ch
250
332
336
340
368
371
[...]

Bonjour à tous,

quelques nouvelles fraîches de 1596 :

[98–389] Le 29 février 1596. Inventaire après le décès de honorable homme François FONTAINE, marchand et bourgeois de Paris. A la requête de honorable homme Jean FONTAINE, maître des œuvres de charpenterie du Roi, et de honorable femme Claude CAILLOU, veuve du défunt, exécuteurs du testament du défunt, et encore ledit FONTAINE, tant en son nom que comme tuteur de Bernard AMAULRY, fils mineur de feus Bernard AMAULRY et Françoise MENOIGER (MEURIGER?), sa femme en premières noces, habiles à se dire et porter héritiers du défunt François FONTAINE leur frère. Et en la présence de Claude et Jacques AMAULRY (signe AMAURY) et Nicolas THIERSAULT, maître charpentier à Paris et Claire AMAULRY sa femme. Lesdits AMAULRY, frères et sœur, aussi habiles à se dire héritiers du défunt, leur frère utérin. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Saint-Paul, en laquelle le défunt est décédé.

[98–396] Le 13 décembre 1596. Inventaire après le décès de honorable homme Jean DESJOBERS/DESJOBARTZ, … à Paris. A la requête de sa veuve (Anne LE CONVERS), tant en son nom que comme (tutrice) créée à la personne et biens de Balthazard DESJOBERS, âgé de ... huit (18?) ans ou environ, (leur) fils mineur. Et en la présence de honorables hommes (Pascal) BAZOUYN, marchand apothicaire et épicier, et Claude AUVRY, marchand drapier, bourgeois de Paris, à cause de (Marguerite) et Catherine DESJOBERS leurs femmes, habiles à se dire et porter héritiers du défunt. Et en la présence de honorable homme Jean …, aussi marchand drapier, bourgeois de Paris, oncle maternel et subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Saint-Antoine en laquelle le défunt serait décédé.
(vue 399) cote 3 : 1582 – Vente d’une rente par honorable femme Geneviève de HARLE, veuve de Guillaume LE CONVERS, marchand et bourgeois de Paris, audit défunt DESJOBERTS et Anne LECONVERS sa femme.
(vue 399) cote 5 : 1589 – Antoine LECONVERS, maître orfèvre à Paris et Etiennette BRETEAU, sa femme.

Des difficultés avec ce dernier, reconstitué grâce au relevés de familles parisiennes.
Merci pour Claude, JD. En revanche, je ne valide pas ta seconde proposition, ce que tu prends pour le patronyme ASSE est en fait le mot aussi de "aussi marchand drapier". Le nom de famille de l'inconnu est totalement caché dans la bande noire à droite de la page. Si je fais des supputations, il pourrait s'agir de Jean LE CONVERT, marchand drapier, que l'on retrouve dans divers actes. Mais je ne veux pas me mouiller.

A bientôt
Christophe.
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cdemaz skrev: 03 juni 2021, 08:20 [98–389]
Et en la présence de … et Jacques AMAULRY

[98–396]
Et en la présence de honorable homme Jean …, aussi marchand drapier,
Christophe, pour le premier, je penche pour Claude ; en faisant abstraction des transparences, la seule anomalie est un L particulièrement riquiqui...

Pour l'autre, vu les occurrences, on peut envisager ASSE, bien que la finale ressemble plus à un T. Mais les ASST ne courent pas les rues, à Paris surtout.

Bonne journée à tous.
JD
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Bonjour à tous,

et voilà :

[98–448] Le 9 décembre 1595. Inventaire après le décès de noble homme Pierre BERARD, secrétaire de la chambre du Roi. A la requête de nobles personnes maître Claude BERARD, secrétaire (?) de la chambre du Roi, Thibault de BREDATZ (= de BREDA), écuyer, sieur de Suynes, à cause de damoiselle Marguerite BERARD, sa femme, habiles à se dire, porter et nommer héritiers du défunt leur frère. Les biens étant en la maison où est à présent demeurant Balthazard Jorron, bourgeois de Paris, rue Saint-Antoine.
(vue 452) cote 14 et 15 : 1572 et 1569 – noble homme Gabriel BERARD.

[98–453] Le 22 août 1595. Inventaire après le décès de honorable homme Guillaume REGNIER, juré du Roi en l’office de charpenterie, bourgeois de Paris. A la requête de maître Guillaume LEPEUPLE, trésorier et payeur de la gendarmerie de France, demeurant à Paris, rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Paul, au nom et comme héritier par bénéfice d’inventaire du défunt son cousin germain. La plupart de ses biens avaient été pris et emportés à cause des troubles. Le défunt est décédé en une maison sise rue Neuve Sainte-Catherine, où est à présent demeurant Claude Doublet, menuisier à Paris. Certains biens étant en une maison appartenant audit défunt sise rue Royale, et en une autre maison appartenant audit défunt sise rue Saint-Antoine.
(vue 454) En la maison de Jacques Angilbert, procureur en Parlement, demeurant devant la Croix Sainte-Catherine, a été trouvé un tableau, où sont (les) portraits tant dudit défunt REGNIER que (de) ses père et mère, frère et sœur.

A plus tard
Christophe.
bertrandg
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Bonjour,

Désolé, mais pour celui-là, le haut est dégradé et très sombre. Il y a un renvoi relatif à Eustache CHAMPION (premier ou second) mari de la veuve. Pour savoir exactement qui concerne l'inventaire, ainsi que la date exacte, il faudrait voir sur l'original...

[98-444] juin 1595 - Inventaire après le décès de Pierre Charles DESPIERRES, charpentier à Paris (ou de Eustache CHAMPION), à la requête de Madeleine BROCART, sa veuve et exécutrice testamentaire, et tutrice de Louis CHAMPION, fils mineur (de feu Eustache) CHAMPION. Aussi à la requête de Nicolas CAILLER, maître charpentier à Paris, tuteur des enfants du défunt Eustache CHAMPION et de (en blanc) sa femme. En la présence de Jean CHANNION (?) voiturier par eau à Paris, subrogé tuteur des mineurs. Biens trouvés en une maison rue des Lions à Paris, où le défunt est décédé.
(vue 447) 21 juin 1594 - testament du défunt (lequel ?) signé Charpentier

Bonne journée,

Bertrand
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cdemaz skrev: 03 juni 2021, 08:20 ce que tu prends pour le patronyme ASSE est en fait le mot aussi de "aussi marchand drapier".
OK Christophe !
Serais-tu intéressé par l’acte coté 1 sur cette vue ?

Voici pour moi :

[98 – 429] 2 octobre 1596 – Inventaire dressé après le décès de feu discrète personne Me Dauphin CHARPENTIER, vicaire en l’église paroissiale Monsieur Saint-Paul à Paris, à la requête de discrètes personnes Me Robert LESQUEVIN, curé de Saint-Hilaire et Me Oudard BERTHELEMY, prêtre chapelain en l’église Notre-Dame de Paris, au nom et comme exécuteurs du testament du défunt, et aussi à la requête d’Antoine PLASSET, laboureur demeurant à Rosières-en-Santerre (80170), au nom et comme tuteur des enfants mineurs de feu Adrien CHARPENTIER, marchand de laine et d’Agathe GUYNON (?) jadis sa femme, et Abraham DAMADE, aussi laboureur demeurant audit lieu, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de feus Quentin DE MIZERY, aussi marchand de laine et de Marie CHARPENTIER jadis sa femme, lesdits mineurs habiles à se dire, nommer et porter héritiers dudit défunt leur oncle.

[98 – 441] 17avril 1596 – Inventaire dressé après le décès de feue Marie QUETON (?), à la requête de son veuf honorable homme Jean SAILLANT, cocher de Monsieur de Montpensier, et de Jean POIRIER, maître boulanger à Paris et Marie SAILLANT sa femme, fille dudit SAILLANT et de la défunte.
Les biens étant en une maison assise rue des Juifs, faisant l’un des coins d’icelle.

Bonne soirée à tous.
JD
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Bonjour à tous,

merci JD d'avoir pensé à moi. Je connais cette famille pour l'avoir un peu étudiée, mais je n'y suis pas apparenté. Louis de PAS (de FEUQUIERE), sgr de Rozières, mari de Anne de MAZANCOURT, est mort en juillet 1590.

Mes lectures du matin :

[98–456] Le 8 décembre 1595. Inventaire après le décès de noble homme maître Paul GOULAS, conseiller du Roi en son Châtelet de Paris. A la requête de mademoiselle Madeleine REPICHON, sa veuve, au nom et comme tutrice de leur enfants mineurs. Et en la présence de noble homme maître Jean GOULAS, conseiller du Roi, et secrétaire de ses finances, subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Neuve Saint-Médéric, paroisse Saint-Paul, en laquelle le défunt est décédé. Bibliothèque (vues 475 et suivante).
(vue 470) cote 1 : 1583 – Contrat de mariage GOULAS x REPICHON.
(vue 471) cote 4 : 1585 – Partage entre ledit Paul GOULAS, nobles hommes Abel de BUGNONS, damoiselle Anne GOULAS, sa femme, et ledit Jean GOULAS, de la succession de dame Catherine HENEQUIN, leur mère.
(vue 473) cote 15 : 1585 – Partage entre ledit (Paul GOULAS) et ses frères et sœurs à cause de la succession de maître Antoine GOULAS, avocat, leur frère.
(vue 473) cote 16 : 1591 – Michelle DAUTHUILLE, veuve de Martin REPICHON, et ledit Paul GOULAS son gendre.
(vue 473) cote 17 : 1594 – Entre Antoine JUBIN(ou JABIN) écuyer, sieur de Tonnelle (ou Touville), et damoiselle Jeanne BACHELIER, sa femme auparavant veuve de noble homme maître Toussaint REPICHON, conseiller notaire et secrétaire du Roi ; et ledit Paul GOULAS comme se faisant fort de maître Michel REPICHON et autre, à cause de la succession de maître Thoussaint(?) REPICHON

[98–477] Le 19 mars 1594. Inventaire après le décès de Michelle BOURGNEAU. A la requête de honorables hommes Jacques BLANCHARD, marchand vinaigrier, bourgeois de Paris, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte sa femme, et de Etienne VINCENT, marchand et bourgeois de Paris, en son nom à cause de Marie BLANCHARD, sa femme, fille et seule héritière de la défunte. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Saint-Antoine, faisant le coin de la rue du Petit-Musc, en laquelle la défunte est décédée.

A plus tard
Christophe.
cdemaz
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Bon dimanche à tous ze toutes,

Deux bons gros zinventaires de 1594 :

[98–513] Le mardi 17 mai 1594. Inventaire après les décès de noble homme Médéric de DONON, conseiller du Roi et contrôleur général de ses bâtiments et damoiselle Jeanne de LA ROBYE, jadis sa femme. A la requête de noble homme François de DONON, conseiller du Roi, trésorier de France et général de ses finances en la généralité d’outre(?) Seine et Yonne, établi à Paris, tant en son nom que comme tuteur de Henri et Louis de DONON, enfants mineurs des défunts. Et en la présence de noble et discrète personne maître Jacques de DONON, prêtre thésaurier de la Sainte-Chapelle Royale du Vivier en Brie (Fontenay-Trésigny,77610), frère et subrogé tuteur desdits mineurs. Et encore à la requête de noble homme Jean de DONON, conseiller du Roi, contrôleur général de ses guerres, et contrôleur général de ses bâtiments, noble homme Simon de DONON, chantre et chanoine de ladite Sainte-Chapelle du Vivier, damoiselle Madeleine de DONON, veuve de feu noble homme Annet de CHASTELAIN, grenetier de Paris, tant pour eux que au nom de noble homme Charles de MEAULX, écuyer, sieur de Rocourt, en son nom à cause de damoiselle Catherine de DONON sa femme, et de noble homme François SAUVAT, conseiller du Roi, trésorier, et … de son écurie, à cause de damoiselle Catherine de DONON sa femme. Tous lesdits de DONON, frères et sœurs, habiles à se dire, porter et nommer héritiers desdits défunts. Les biens étant en la maison des trois Pavillons, Couture Sainte-Catherine, où ils ont été apportés après la rédition de cette ville de Paris de laquelle cy est, ils se seraient retirés à cause des troubles. Titres de la maison et terre de la Jarrie en Brie (Châtres, 77610).
(vue 523) Fiefs d’Auribeau/d’Oribeau/d’Oribol, etc.
(vue 538) 1564 – Barthélemie d’ALTHOVITIES/ALTHOVITI veuve ... de LA ROBIE.
(vue 539) cote 94 : 1547 – Jérôme de LA ROBY (=Girolamo della ROBBIA), valet de chambre du Roi, vente à Maître Luc de LA ROBYE de 3 quartiers de jeunes plants de vignes.
(vue 543) cote 123 : Sentence donnée au profit de ladite Jeanne de LA ROBIE, ès noms comme(?) Pierre et André(?) de LA ROBIE, frères et héritiers de feu Jérôme de LA ROBIE, par laquelle ils auraient été condamnés à payer à ladite défunte par provision la somme de 256 livres 15 sols.

[98–545] Le samedi 4 juin 1594. Inventaire après le décès de damoiselle Anne MIDORGE, veuve de Gallois de RACONIS, commissaire ordinaire de l’artillerie et lieutenant du grand maître de ladite artillerie au gouvernement de Paris et Ile-de-France. A la requête de noble homme maître Martin de BRAGELONGNE, seigneur de Charonne, conseiller du Roi en sa Cour de Parlement et président ès enquêtes d’icelles, au nom et comme tuteur de Anne de RACONIS, fille mineure de feu noble homme Nicolas de RACONIS, conseiller du Roi et contrôleur général de ses guerres et de damoiselle Marthe de CHAULNE, sa femme, à présent femme de noble homme [blanc] NAU, conseiller notaire et secrétaire du Roi et de ses finances, et en la présence dudit NAU, au nom et comme subrogé tuteur de la mineure, et de damoiselle Catherine de RACONIS, femme dudit sieur de BRAGELONGNE, et de dame Anne de RACONIS, femme de noble homme Balthazard GOBELIN, conseiller du Roi en en son conseil d’état et trésorier de son épargne, habiles à se dire héritiers de noble homme Gallois de RACONIS, commissaire ordinaire de l’artillerie et lieutenant du grand maître de ladite artillerie au gouvernement de Paris et Ile-de-France, et damoiselle Anne MIDORGE sa femme, père et mère d’icelle damoiselle et aïeux de ladite mineure. Les biens qui se seraient trouvés de reste … de la ville de Tours, où ils s’étaient retirés au moyen des troubles et séditions qui étaient en cette ville et royaume, dont le surplus aurait été mal pris. Les biens étant en la maison où lesdits défunts de RACONIS et MIDORGE sont décédés, sis à Paris, rue Saint-Antoine, montrés par maître Guillaume LELETIER, régisseur(?) du domaine d’Orléans et l’un des exécuteurs du testament de la défunte. ?
(vue 561) cote 1 : 1587 – Appert ladite défunte (Anne MIDORGE), messieurs de BRAGELONGNE et GOBELIN, ses gendres, maître Nicolas de RACONIS, son fils aîné décédé, ayant délaissé une petite fille mineure. Il est question d’un partage entre damoiselles Catherine et Anne de RACONIS, et ladite mineure, filles et et petite fille de ladite (Anne MIDORGE).
(vue 565) cote 26 : 1525 – Gallois MIDORGE, seigneur du Fretay en Brie.
(vue 569) cote 56 : 1557 – Partage entre nobles personnes Jean MIDORGE, écuyer sieur du Frethé en Brie (= du Frétay, 77220 Tournan-en-Brie) et grenetier de Paris d’une part et ledit Gallois de RACONIS et damoiselle Anne MIDORGE sa femme, comme héritiers seuls et pour le tout de feus nobles personnes Gallois MIDORGE, sieur dudit Fretay et commissaire ordinaire en ladite … et de Catherine ASSELIN, jadis sa femme.
(vue 582) cote 156 : 1569 – Contrat de mariage entre Gallois de RACONIS et Anne MIDORGE sa femme, comme stipulant pour Catherine de RACONIS leur fille d’une part, et ledit Martin de BRAGELONGNE d’autre part.
(vue 582) cote 157 : 1571 – Contrat de mariage entre Gallois de RACONIS et Anne MIDORGE sa femme, comme stipulant pour Anne de RACONIS leur fille d’une part, et ledit noble homme maître Balthazard GOBELIN, conseiller du Roi et trésorier général de son artillerie d’autre part.
(vue 584) 1592 – Testament de Anne MIDORGE. Rente au profit de Laurent fils bâtard de feu Nicolas de RACONIS, son fils.

A plus tard.
Christophe.
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Bon dimanche à tous.

[98 – 494] 27 octobre 1594 – Inventaire dressé après le décès de défunte noble femme Jeanne RABACHE, veuve en premières noces de feu noble homme Me Jean MALINGRE, avocat en la cour de parlement à Paris, et en dernières noces de feu noble homme Me Martin DE HERBELOT, secrétaire du Roi, à la requête d’honorable homme Me Jacques MALINGRE, huissier du Roi en sadite cour, Parfait MALINGRE, huissier ès requêtes du Palais à Paris, Me Jean DE LA POUSTOIRE, contrôleur ordinaire des guerres, tuteur de Germain DE LA POUSTOIRE, fils mineur de lui et de feue Marie MALINGRE sa femme, Me Jean ROZÉE, procureur en parlement, tuteur d’Anne ROZÉE, fille mineure de lui et de feue Marguerite MALINGRE sa femme, qui était fille de feu Me Jean MALINGRE, huissier desdites requêtes, et d’Anne MERARD sa femme, et Me Thibault CRESSÉ, bourgeois de Paris, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de défunt noble homme Me Nicolas DE CRESSÉ et d’Anne MALINGRE jadis sa femme, et Me Étienne NANTEAU, procureur en ladite cour de parlement, à cause de Jeanne MALINGRE sa femme, fille desdits Me Jean MALINGRE et Anne MERARD, à savoir lesdits MALINGRE, DE LA POUSTOIRE et ROZÉE, en leurs noms, habiles à se dire, nommer et porter héritiers de la défunte, et ledit CRESSÉ audit nom de tuteur de Laurent CRESSÉ, l’un desdits mineurs, aussi habile à se dire et porter héritier de ladite défunte, et au regard de Jeanne CRESSÉ, l’une desdits mineurs et sœur dudit Laurent, il a renoncé et renonce à ladite succession et se tient au legs testamentaire à elle fait par ladite défunte ; par protestation ledit legs serait débattu et qu’elle soit déboutée, de pouvoir rentrer … hérédité pour sa part et portion.
Les biens étant en une maison assise rue des Écoufles.
(vue 504) cote 1 : 1531 – contrats de mariage entre ladite Jeanne RABACHE et lesdits Me Jean MALINGRE (1531) et Me Martin DE HERBELOT (1550 ?).
(vue 504) cote 2 : 1578 – inventaire après le décès dudit Martin DE HERBELOT.
(vue 506) cote 17 : 1583 – contrat de mariage entre lesdits Jeanne MALINGRE, petite-fille de la défunte, et Me Étienne NANTEAU.
(vue 506) cote 18 : 1585 – contrat de mariage entre lesdits Marguerite MALINGRE, petite-fille de la défunte, et Me Jean ROZÉE.

[98 – 510] 29 octobre 1594 – Inventaire dressé après le décès de feu Jean GOUIN / GOUVIN (?), tailleur de pierre à Paris, à la requête de sa veuve Antoinette DACOUROT (?), tant en son nom que comme tutrice de leur fille mineure Louise GOUIN.
Les biens étant en une maison assise rue du Temple, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, où pend pour enseigne les Trois-Tranchoirs.

[98 – 512] 29 octobre 1594 – Inventaire dressé après le décès de défunte Laurence VOIGIERY (?), à la requête de son veuf Jean LEVASSEUR, maître aiguillier alénier à Paris, au nom et comme tuteur de leur fils mineur Guillaume LEVASSEUR.
Les biens étant en une maison assise rue du Temple, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, où pend pour enseigne les Trois-Tranchoirs.

Une prime d'un (tout bref) inventaire, curieusement dans le même cahier que le second, à la même date et au même lieu... On peut imaginer beaucoup de choses...
À part les causes de ces décès, les noms sont aussi un peu obscurs.
JD
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Bonjour,

Pour aujourd'hui, malgré une première page pas très nette...

[98-488] 9 mars 1595 - Inventaire de feu Maître Jacques MALINGRE ou MALNIGRE, vivant huissier du Roi en sa Cour de parlement de Paris à la requête de Catherine LEMOYNE, sa veuve, tutrice de leurs enfants mineurs. En la présence d'honorable homme Me Parfait MALINGRE, huissier du Roi es requêtes du Palais à Paris, oncle et subrogé tuteur des mineurs. Biens trouvés en une maison à Paris, rue des Roziers, paroisse Saint-Gervais, en laquelle ledit défunt est décédé.
(vue 492) cote 1 : 8 janvier 1575 - contrat de mariage entre ledit défunt et ladite veuve.
cote 7 : 26 août 1585 - compte rendu par ledit défunt de la gestion et administration des personnes et biens de défunt Maître Jean MALINGRE, huissier des requêtes au palais.

Pas de nouvelle affectation pour moi, car je serai absent la semaine prochaine...
Merci JD et cet autre inventaire pour éclairer celui-ci !

Bonne journée.

Bertrand
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bertrandg skrev: 06 juni 2021, 16:03 [98-488] 9 mars 1595 - Inventaire de feu Maître Jacques MALINGRE ou MALNIGRE, vivant... à la requête de Catherine LEMOYNE, sa veuve, tutrice de leurs enfants mineurs. En la présence de Jean YET (?), maître ... huissier du Roi es requêtes du palais à Paris, oncle et subrogé tuteur des mineurs. Biens trouvés en une maison à Paris, rue de Ceziers (de la Cerisaie ?), paroisse Saint-Gervais, en laquelle ledit défunt est décédé.
(vue 492) cote 1 : 8 janvier 1575 - contrat de mariage entre ledit défunt et ladite veuve.
cote 7 : 26 août 1585 - compte rendu par ledit défunt de la gestion et administration des personnes et biens de défunt Maître Jean MALINGRE, huissier des requêtes au palais.
Bonsoir Bertrand ; dans celui-ci, on retrouve en partie les intervenants du 494 :

feu Me Jacques MALINGRE, huissier du Roi en sa cour de parlement à Paris, à la requête de Catherine LEMOYNE, sa veuve, tutrice de leurs enfants mineurs. En la présence d'honorable homme Me Parfait MALINGRE, huissier du Roi es requêtes du Palais à Paris, ...
Biens trouvés en une maison à Paris, rue des Rosiers...

À bientôt.
JD
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À présent :

[99 – 111] 14 novembre 1605 – Inventaire dressé suivant le contrat de mariage entre honorable homme Olivier LAURENS, marchand tuilier bourgeois de Paris, demeurant ès faubourg Saint-Germain, paroisse Saint-Sulpice, rue de la Chaise, en la maison et tuilerie où est pour enseigne la Tête-de-Cheval, requérant, et Claude DAUBREMONT, veuve de feu Pierre CONSEIL.
(vue 116) cote A : 1591 – contrat de mariage entre ledit Olivier LAURENS et défunte Guyonne BOYTEL / BOITEL.
(vue 117) cote B : 1603 – arrêt de la cour de parlement ; ledit Olivier LAURENS tuteur de Jacques LAURENS, fils de lui et de ladite défunte Guyonne BOYTEL.

[99 – 118] 26 mars 1605 – Inventaire dressé après le décès de défunte Perrette JAQUET, à la requête de Claude BORDIER, marchand orfèvre bourgeois de Paris, au nom et comme tuteur de Louis LONGUET et Anne LONGUET, enfants mineurs de feu Jacques LONGUET, maître ceinturier à Paris, et de la défunte sa femme, et en la présence de Pierre GARNIER, maître corroyeur baudroyer de cuirs à Paris, subrogé tuteur desdits enfants, et aussi de Jean GIRAUDIN / GIRAULDIN, maître tailleur d’habits à Paris, mari en secondes noces de ladite défunte, lesdits mineurs habiles à se dire, nommer et porter héritiers d’icelle défunte.
Les biens étant en une maison assise rue Saint-Antoine, joignant et … la maison où pend pour enseigne le Coq.

Bonne journée à tous.
JD
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La paire suivante :

[99 – 120] 26 août 1603 – Inventaire dressé après le décès de feu Martin QUESTE, compagnon meunier à Paris, à la requête de sa veuve Robine ROLLANDE, tant en son nom que comme tutrice naturelle de leur fils mineur Charles QUESTE, et comme stipulant de Hubert et Françoise QUESTE, enfants mineurs dudit défunt et de feue Claude HOULLET sa première femme, et en la présence de Barbe GALOPIN, femme de Jean B… maître tonnelier à Paris, cousine germaine desdits mineurs, et de Vincent DE LA VACQUERIE, ami dudit défunt, aussi meunier à Paris.
Les biens étant en une maison assise à Paris, rue Saint-Antoine, où pend pour enseigne le Pot-d’Étain.

[99 – 125] 24 mars 1603 – Inventaire et récolement dressé à la requête d’honorable femme Denise ADAM, ci-devant veuve de feu Pierre GOUFFE, marchand bourgeois de Paris, et à présent femme d’André DUBOYS, bourgeois de Paris, en sa présence, des biens qui appartiennent à la requérante et lui appartenaient, tant avant le contrat de mariage avec ledit DUBOYS, que ceux apportés par icelui contrat.
Les biens étant en une maison assise à Paris, rue des Rosiers, paroisse Saint-Gervais.

À bientôt.
JD
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Bonjour à tous,

Un coup long un coup court (comme le tir de l'artilleur !) :

[99–1] Le samedi 25 juillet 1604. Inventaire après le décès de messire Louis de MARILLAC, chevalier, seigneur en partie de Farainvilliers, survenu hier (24 juillet 1604) sur les onze heures du soir. A la requête de monsieur maître Michel de MARILLAC, sieur de Farainvillier, conseiller du Roi et maître des requêtes ordinaires de son hôtel, demeurant à Paris, rue Quincampoix, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, tant en son nom que comme exécuteur du testament du défunt son frère, et encore comme se faisant fort de messire Octavien DONY, sieur d’Attichy, conseiller du Roi en ses conseils d’état et privé, intendant et contrôleur général de ses finances et dame Vallence de MARILLAC sa femme, et de messire Louis de MARILLAC, chevalier, sieur de Burnebois( ?), gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi, noble homme Pierre BOUCHER, aussi écuyer, sieur de Vernon (ou Vernoy) et damoiselle Louise HENNEQUIN sa femme, et damoisellle Marie HENNEQUIN, femme de Nicolas de GLEZENAULNE( ?), écuyer sieur de Marainville, conseiller et secrétaire d’état de monseigneur le duc de Lorraine, tous habiles à se dire, nommer et porter pour héritiers du défunt. Les biens étant en la maison et hôtel de honorable homme maître Barrier, sis rue des Lavandières, où le défunt serait décédé, et en l’hôtel de Charles de MARILLAC, écuyer, sis à Paris, rue des Fèvres, paroisse Saint-Paul.
(vue 21) cote 16 : 1572 – messire Guillaume de MARILLAC, chevalier, sieur de Ferrière en Brie, conseiller du Roi en son conseil Privé, commis général et intendant de ses finances.
(vue 21) cote 17 : 1573 – Transport de noble homme Gilbert de MARILLAC, écuyer, sieur de Saint-Genest, à noble homme et sage maître Guillaume de MARILLAC, conseiller du Roi et maître ordinaire de sa chambre des compte de sa part et portion par le partage de la succession de feu messire Charles de MARILLAC, archevêque et comte de de Tiroine ( ?).
(vue 22) coe 18 : 1573 – dame Geneviève de BOISLEVESQUE, veuve de Guillaume de MARILLAC, chevalier seigneur de Ferrières, conseiller du Roi en son conseil privé, contrôleur général et intendant de ses finances, tutrice de leurs enfants mineurs. D’autres enfants mineurs du défunt sieur de Ferrières et de damoiselle Reine ALIGRET, sa première femme.
(vue 25) cote 22 : 1602 – Donation entre vifs par Jean ALMERAS, seigneur de la Saulsaie et de Saint-Rémi, notaire et secrétaire du Roi, à Louise de MARILLAC (il s’agit de la future co-fondatrice avec Saint-Vincent de Paul des filles de la Charité), fille naturelle dudit Louis de MARILLAC.
(vue 26) cote 23 : damoiselle Antoinette LE CAMUS jadis femme de Louis de MARILLAC.
(vue 29) cote 35 : 1594 – Antoinette LE CAMUS veuve du sieur DUBREAU, cède à Jean LE CAMUS, son frère, sieur dudit Saint-Bonnet et de Gaudreville en Beauce, 15 écus de rente.
(vue 46) cote 115 : 1600 – Le sieur Jean GONTIER, greffier du Parlement de Bourgogne, à cause de damoiselle Marie LE CAMUS sa femme, et ledit sieur de MARILLAC à cause de damoiselle Antoinette LE CAMUS, sa femme, soulte du partage fait entre eux et le sieur de Saint Bonnet leur beau-frère, des biens et succession de défunt le sieur et dame de Saint-Bonnet leur père et mère. Pension de Léonord et Gabriel THIBOUST, enfants dudit feu sieur DUBREAU et de ladite damoiselle Antoinette LE CAMUS.
(vue 47) cote 123 : 1584 – Contrat de mariage entre dame Geneviève de BOYSLEVESQUE, veuve en premières noces de Jean de LA ROZIERE et en dernières noces de messire Guillaume de MARILLAC, comme tutrice et stipulant pour damoiselle Marthe de LA ROZIERE, fille dudit feu sieur de la ROZIERE et d’elle d’une part, et ledit défunt sieur Louis de MARILLAC d’autre part.
(vue 50) cote 133 : 1596 – Inventaire des titres après le décès des défunts sieur et dame de Saint-Bonnet.
(vue 50) cote 134 : 1580 – Pierre BOUGUYER, frère de dame Marie BOUGUYER, femme de noble homme Jean LE CAMUS, sieur de Saint-Bonnet.
(vue 51) cote 136 : 1595 – Inventaire avant mariage à la requête dudit sieur de MARILLAC, en la présence de damoiselle Antoinette LE CAMUS, alors sa fiancée. Et cote 137 : 1595 – Contrat de mariage.
(vue 51) 140 : 1602 – Donation dudit sieur de MARILLAC à damoiselle Louise de MARILLAC sa fille naturelle, de 1200 livres.
(vue 54) cote 158 : 1580 – Partage entre noble homme monsieur Louis HENNEQUIN, sieur de Cermoize, secrétaire du Roi et maître des requêtes ordinaires de son hôtel, comme tuteur et curateur de … et Michel de MARILLAC … et héritiers avec Louis de MARILLAC de feus Guillaume de MARILLAC et damoiselle Marie ALLIGRET leur père et mère d’une part, et ledit Louis de MARILLAC, usant et jouissant de ses droits.
(vue 55) cote 159 : 1593 – Partage entre Louis et Michel de MARILLAC Geneviève de BOISLEVESQUE.
(vue 55) cote 160 : 1593 – Partage entre Louis et Michel de MARILLAC, René HENNEQUIN, seigneur de Cermoise comme tuteur des enfants mineurs de lui et de feue damoiselle Marie de MARILLAC sa femme et se faisant fort de Geneviève de BOISLEVESQUE, veuve dudit Guillaume de MARILLAC, tutrice de Louis et Vallence de MARILLAC, enfants mineurs dudit défunt et d’elle. Etc.
(vue 73) Mention ultérieure du 6 août 1607 – Michel de MARILLAC, conseiller du Roi et maître des requêtes ordinaire de son hôtel au nom et comme tuteur de Innocente de MARILLAC, fille mineure dudit défunt Louis de MARILLAC son frère et de Antoinette CAMUS, sa femme.
Etc.
Les papiers recèlent encore pleins d’autres renseignements généalogiques, mais j’abandonne ici.
 
[99–103] Le 17 novembre 1604. Inventaire après le décès de Michel GEORGES, bourgeois de Paris. A la requête de Marguerite HARDY, sa veuve, en son nom et comme exécutrice du testament du défunt du 17 mai 1599. Et en la présence de Simon BESOU, chauffournier demeurant à Hangré(?), paroisse d’Avon près de Fontainebleau, comme héritier dudit défunt son cousin issu de germain à cause de Anne de TRAVERS sa mère. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue des Nonnains-d’Hyères, en laquelle le défunt est décédé.
 
A plus tard.
Christophe.
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Bonjour,

une paire :

[99–155] Le mercredi [...] mai 1602. Inventaire après le décès de François FERMENT. A la requête de […] LEMAIRE, sa veuve, demeurant rue rue Pastourelle, paroisse Saint-​Nicolas des Champs, tant en son nom que comme tutrice naturelle de leurs enfants mineurs.
(vue 162) Inventaire paraphé par honorable femme Denise LEVESQUE, veuve de Jean DELACROIX, courtier de vin à Paris, et auparavant sergent au bailliage du Palais à Paris, y demeurant rue des Rosiers et … et en conservation de l’inventaire fait à sa requête le 12 mai 1612.

[99–163] Le 21 juin 1603. Inventaire avant mariage, à la requête de Radegonde DU VEULX (signe DU VOEULX), veuve de Toussaint POCART, maître potier d’étain à Paris, des biens qu’elle est tenu apporter avec son futur mari [Henri DUPUYS], suivant leur contrat de mariage ci-devant passé entre eux. Les biens étant en la seconde chambre d’une maison où ladite veuve est demeurant, sise à Paris, rue Saint-Antoine.

A plus tard
Christophe.
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Et hop :

[99–166] Le 26 août 1608. Inventaire après le décès de Pierre COURTOIS, maître vanier quincaillier, bourgeois de Paris. A la requête de Anne MASSIEU(?), sa veuve, demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Paul, tant en son nom que comme tutrice de leurs enfants mineurs. Et en la présence de Michel BOULLY, juré aulneur de toiles en ville et banlieue de Paris, subrogé tuteur desdits mineurs.

[99–173] Le 7 mai 1607. Inventaire du trésor de Saint-Paul. A la requête de messire Jean de THUMERY, chevalier, seigneur de Boissise, conseiller du Roi en ses conseils d’état et privé, noble homme maître Florent DARGOUGES, conseiller et trésorier général des maison et finances de la (cour) de Rome, honorables hommes Claude de NOUROY, marchand et bourgeois de Paris et Marc NICOLAS, marchand apothicaire et épicier, bourgeois de Paris, au nom et comme marguilliers de l’oeuvre et fabrique de l’église Monsieur Saint-Paul à Paris.

Les dates débordent un peu par rapport à ce qui est mentionné dans l’intitulé de la liasse. La liasse indique 1599-1606, et les actes ci-dessus sont de 1607-1608. Une petite correction sera à apporter à la fin de la liasse, lorsque nous aurons les dates extrêmes. Merci.

A plus tard.
Christophe
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