CHRONIQUE FAMILIALE « NO LIMIT » Nouvelles chroniques – OCTOBRE 2021

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  • Bild DANS LA BIBLIOTHÈQUE DE MARIA

    • LE MYSTÈRE DU PENDU DE LORLANGES (1917)

      En décembre 1917, la Mère Supérieure de l’Hospice de Brioude (Haute-Loire) reçoit un courrier anonyme lui annonçant le décès d’un de ses pensionnaires à qui elle avait permis de passer quelques jours dans sa famille.
      L’affaire est plus que troublante car l’intéressé n’a jamais fait part de funestes intentions, bien au contraire, il est connu pour son en train et sa pétulance.
      Les autorités sont informées et le malheureux est retrouvé pendu dans son maison de Lorlanges…
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    Bild CRIMES ET FOLIES MEUTRIÈRES EN AUVERGNE
    • La violence meurtrière a toujours été présente dans notre histoire. Je vous propose deux affaires criminelles du 19e siècle qui ont en commun la méthode l’empoisonnement. L’élimination d’un époux gênant à dans une ville comme Thiers dans le premier cas et l’appât de l’argent facile dans la campagne altiligérienne.

      LA TENTATION DE L’ADULTÈRE… LA BELLE BOULANGÈRE EMPOISONNE ÉPOUX ET ENFANTS (THIERS 1874)
      A La Vidalie, faubourg de Thiers, un boulanger s’était installé et notre homme rude travailleur gagnait très bien sa vie et son ménage ne manquait de rien.
      Mais pour les clients de leur boutique, le couple présentait une certaine anomalie. Si le boulanger était abominablement laid, son épouse présentait un aspect tout à fait différent. Plus que jolie, ravissante avec ses cheveux d’ébène, ses yeux de velours noirs, ses lèvres de sang et ses dents d’une éblouissante blancheur, elle attirait sans le vouloir les cœurs des hommes.
      L’un d’entre eux lui fit un brin de causette et au grès du temps elle tombe sous son charme. Mais dit-elle, « je ne suis point veuve » et le galant de la convaincre d’éliminer l’époux gêneur . Un piège pour la belle boulangère ! ….
      >>> A découvrir...

      LA DOSE DE STRYCHNINE AVAIT DE QUOI DONNER LA MORT À UNE VINGTAINE D’HOMMES… LE PROCÉS D’UN EMPOISONNEUR - SAUGUES (1892)
      Un quidam qui vivait tant bien que mal des produits de son braconnage, avait ouï dire que son oncle Pierre Meyronneine avait reçu une bonne somme d’argent.
      En l’absence de ce dernier, le braconnier pénètre dans sa maison, fait main basse sur le butin et prend soin, avant de quitter les lieux, de verser de la strychnine dans le verre utilisé journellement par l’oncle Pierre….
      >>>A découvrir...

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