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Arbre collaboratif Oradour1944

Familles Parisiennes, Livres d'or de la Grande Guerre, Matricules Napoléoniens... Geneanet fédère les bénévoles autour de projets de relevés de grande ampleur. Pour toutes vos questions, c'est par ici !
mlabergere
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Pour Jean MIOZZO je suis allée l'an dernier à la mairie de Saint-Junien et je ne l'ai pas trouvé sur les registre? Je pourrais y refaire un saut si c'est vraiment ça.
pfradin
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Pas de problème, mais Jean était un oncle de ma femme , du coup je connais assez bien l'histoire de cette famille et des 12 frères et soeurs de Jean
jeanlucw
jeanlucw
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En agrandissant la photo du livre, on voit plus que 3 marches..
Bilagor
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mlabergere
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Frédéric, sur les listes des bâtiments avec les numéro, vous avez noté : victime ou absent. Mais il y en a qui se trouvait là et qui se sont cachés ou qui ont survécu. Je crois qu'il faudrait préciser. Par exemple Robert HEBRAS qui est noté absent. En fait c'est en cherchant la famille RAYNAUD-HORTOLARY, j'ai retrouvé le mariage après le drame de Marie Louise HORTOLARY avec un monsieur ROUSSY, ils ont eu un fils Jean Marc, on était pas sûr mais on connait un Jean Marc ROUSSY, mon mari lui a téléphoné et lui a demandé si c'était bien le fils de cette personne. Et en cherchant si on l'avait mis dans la bonne maison je vois qu'elle est notée absente alors qu'elle était cachée dans le jardin de la boulangerie et qu'elle y a passé la nuit. Est-ce qu'on peut changer cet intitulé puisque dans l'arbre c'est différencié?
michelb57
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Bonsoir,

D'après mes archives familiales, la maison d'habitation de Fernand Gougeon, son épouse Marie et leurs deux enfants, se situait sur la route des Bordes.
En descendant la rue, sur le côté droit il y a aujourd'hui une pancarte "Cordonnier J Boutaud" : la maison Gougeon se trouve juste à gauche de cette pancarte.
Par contre, je ne sais pas si la famille Lorrain Emile, Félicie et Paulette (les parents et la sœur de Marie) vivaient sous ce même toit...

Bien à vous,
Claudine
michelb57
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ftbo
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Bonjour à tous et toutes

On peut sabler le champagne, les pages présentant le projet Oradour1944 sont désormais en ligne, avec notamment un accès par titre et un par maison.
Voici le lien direct : https://www.geneanet.org/explore/great-history-times/oradour

En complétant les pages (j'ai vérifié tous les titres et toutes les maisons), il m'est venu quelques interrogations que je vous livre ici :

-------------

Albert Valade dit que Jacques BOISSOU habitait La Croix des Bordes, or la Croix des Bordes, sur le plan des hameaux, fait partie des hameaux raflés (il est entouré en noir). Sur d'autres membres de la famille il était écrit qu'ils habitaient aux Bordes et pas à La Croix des Bordes.
Marie BARATAUD est aussi dite habitant la Croix des Bordes "hameau non raflé" et venue aux provisions.
Pierre BOISSOU est dit mécanicien aux Bordes et recensé aux Bordes en 1946 mais ça ne veut pas dire qu'il y habitait en 1944.
Le problème c'est que les deux hameaux sont très proches.
La grand-mère (Marguerite LAPLAUD) et la mère (Marie BARATAUD) ont été tuées, le mari et un fils sont vivants, Jacques était à vélo "près des Bordes" et il a pu s'enfuir. La fille était à l'école et elle est morte.

Mes questions :
- si La Croix des Bordes n'a pas été raflé, peut-on affirmer que les 2 femmes étaient allées au provisions ? D'où vient cette affirmation, est-ce que cela a été lu quelque part ou c'est juste une supposition ?
- d'où vient également l'affirmation que le hameau n'a pas été raflé ?
- si le hameau a bien été raflé, dans ce cas où étaient les 2 hommes survivants ?

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Les Gaillot vivent au Mas Ferrat sur Geneanet et à La Basse Forêt sur le Maitron

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Pierre léonard Dupic : pourquoi était-il au bourg (il a 76 ans ?)

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J'ai un doute ancien sur Bel-Air, le hameau a-t-il été raflé ou non, car il y a beaucoup de victimes qui y habitaient. Peut-être juste une partie ?

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Françoise CHEVALIER vivait chez sa petit-fille Germaine BOIS ?

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Enfin les cabinets de médecine DESOURTEAUX, je ne comprends plus : il y a le bâtiment 67 mais il y a aussi le 12 ? Le 12 était-il en fait des garages ? C'est un bien grand bâtiment...

--------

Voilà, pour le reste j'ai fait pour le mieux et j'espère que tout est correct au niveau des habitants des maisons.
Les courageux(ses) pourront regarder, pour le reste je peux modifier tout ce qu'il y a tant qu'on voudra, il n'y a pas péril en la demeure s'il y a des erreurs.

Je vais envoyer la liste des victimes définitive à Mme Gibouin et lui signaler cette mise en ligne. J'espère que cela les intéressera.
Cordialement,

Frédéric, modérateur Geneanet
isabelvv
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bonjour,
tout d'abord bravo pour tout ce travail effectué !
c'est moi qui est complété les portraits sur Maitron, effectivement il y a un doute sur le lieu.
- sur le Recensement de 1936 la famille Boissou Pierre et Barataud Marie(+), habite aux Bordes ainsi que la famille Barataud François et Laplaud Marie(+)
- sur le Recensement de 1946 Boissou Pierre habite également aux Bordes
- le livre d'Albert Valade " la page de catéchisme" (p57 à 82) parle de Jacques Boissou et de sa famille
- son père était parti raccompagner une tante qui était venue leur rendre visite
- sa grand-mère Laplaud Marie(+) était chez sa fille Barataud Marie ep Boissou(+)
- il me semble que les Bordes non pas été raflé, mais que la croix des Bordes oui par déduction, mais il n'y a pas vraiment de distinction entre les deux sur tous les documents que j'ai pu voir
-la maison fut probablement raflé mais pas détruite puisque le soir il retourne chez lui où il y retrouve son père et son frère
- aucune info sur le lieu où était son frère, peut-être parti avec le père ?

pour la famille Gaillot, j'ai indiqué Basse Forêt, justifié par les minutes du jugement du 10 juillet 45


Dupic Léonard (dit Pierre) (+) est recensé habitant au Bourg jusqu'à 1936, dont 1931 et 1936 avec son fils Jean(+)


Pour Bel Air je dirais qu'il n'a pas été raflé Albert Valade note uniquement 2 enfants dcd, André et Ernest Demery(+)


Chevalier Françoise(+) est recensée au Bourg en 1936 avec son époux, peut être après le décès de son époux en 1940, où juste elles étaient toutes les deux domiciliées au Bourg

Bon courage,
isabel
mlabergere
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Je viens de faire un tour sur mes ressources pour voir pourquoi on avait mis certaines personnes ici ou là.

DESOURTEAUX : Jean Hubert était garagiste, mais non propriétaire (propriétaire JOYEUX André) son garage était au n°67 parcelle C 102 , mais ce n’était pas le cabinet médical. C'est vrai que c'est grand mais l'autre garage POUTARAUD occupe aussi une bonne parcelle.
Jacques le docteur était propriétaire d’une maison sur la parcelle C 103 qu’il louait à LEGER Pierre (vu sur dommage mobilier de LEGER), comme il était célibataire et qu’il avait repris le cabinet médical de son père Jean François, il devait continuer les consultations en haut du bourg bâtiment n°12.

DUPIC Pierre Léonard né en 1867 habitait au Bourg chez DUPIC Jean (dossier mobilier de Dupic Léonard), dans le bâtiment n°6. Il avait bien été mis dans le local sur le premier dossier « indicateur maisons » en dossier html que Frédéric m’avait transmis le 14 avril.

CHEVALIER veuve DEVOYON Françoise : dans le dossier mobilier au nom de CHEVALIER Françoise elle est locataire de CLAVAUD boulanger à St Christophe, au 1er étage. Jeanne SATHOUNY veuve JOYEUX est aussi habitante de la même maison sur le dossier mobilier à son nom, dans le bâtiment 74, donc Françoise CHEVALIER n’habitait pas chez sa petite fille Germaine, par contre on avait mis une autre petite fille Angéle dans ce logement 74, qui figure sur le dossier des dommage mobilier de sa grand-mère et est dite occupante du logement.
Marie-Line
ftbo
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Merci beaucoup je vais corriger ce qu'il y a à corriger :)
Cordialement,

Frédéric, modérateur Geneanet
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Est-ce qu'on a plus d'information sur Ramona GIL DOMINGUEZ? notamment les documents qui attestent qu'elle est reconnue décédée le 10 juin.
En cherchant des infos sur elle, j'ai trouvé cet article http://lhistoirepourtous.over-blog.com/2020/05/l-histoire-pour-tous-n-50-deux-familles-aragonaises-victime-du-massacre-d-oradour-sur-glane.html
J'ai rajouté Millan BIELSA comme fiancé de Andrée BRANDY et j'ai mis la photo.
Sinon mon prénom est inexact sur la page d'accueil du projet, c'est Marie-Line et non Monique, mais ce n'est pas grave.
ftbo
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Merci Marie-Line pour cet article intéressant. Et toutes mes excuses pour vous avoir appelée Monique (mais pourquoi diable ai-je fait ça ?!), j'ai corrigé.
En relisant les échanges dans le forum (je crois) j'ai vu que l'homologation de Ramona Gil Domingues était en cours c'est pour ça que je l'ai indiqué. Je vais poser la question à Sandra Gibouin ce sera plus simple.

Sinon j'ai une dernière question suite à la réponse d'Isabel : si Bel-Air n'a pas été raflé (je pense quo'n peut faire confiance à Albert Valade quand il dit qu'il n'y avait que deux enfants de l'école), pourquoi diable Léonard Bardet et sa femme Marie Claire Malledent ont-ils été compris dans les victimes ? De même, leur bru Catherine née Thomas ?
Sur l'arbre il est écrit que Catherine vivait au bourg (son mari était prisonnier de guerre) mais pour tous les autres ils sont dits habitant Bel-Air et y travaillant, et c'est là aussi qu'est noté l'époux prisonnier, Pierre dit René Bardet, sur la liste électorale de 1940. Ils auraient donc déménagé entre 1940 et 1944 dans le bourg, mais où ?

Voilà c'était ma dernière question, je crois que tout le reste est clair :)
Cordialement,

Frédéric, modérateur Geneanet
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Pour Bel-Air, sur le plan des hameaux, c'est juste au bout du bourg, côté entrée principale actuelle. En regardant les matrices cadastrales, le seul propriétaire à Bel-Air (en bâti) c'est DESOURTEAUX Paul, donc plutôt à gauche; au recensement 1936 il n'y a que la famille BARDET à Bel Air, le recensement partait normalement du centre bourg et tournait en rond, sur celui-ci juste avant les BARDET il y a 2 familles à la Prade au nord du Bourg) et avant on trouve la fin du Bourg avec les JOYEUX et Pierre GIROUX. Donc la famille BARDET devait toujours être à Bel-Air en 1944. Que le village n'ait pas été raflé c'est possible, mais c'est tellement prêt du Bourg que Léonard BARDET pouvait travailler dans les champs et avoir été pris par les Allemand ou avoir été chercher du tabac et sa femme faisait peut-être ses courses ou travaillait dans quelques commerces ou faisait des ménages? quand à sa belle-fille elle était soit au bourg comme sa belle-mère, soit quand elle a entendu ou vu le rassemblement, elle est allée voir pour récupérer son fils à l'Ecole. Ce sont des suppositions, mais on a rien dans les demandes de paiement des dommages mobilier à leurs noms, c'est donc sans doute que leur maison n'a pas été brûlée. Reste la piste que Catherine THOMAS vivait au Bourg avec son beau-frère Jean BARDET et sa femme Marie-Louise JUDE quand son mari était prisonnier: la plaque devant la maison n°72 indique J et P BARDET puisatier. En 1936 les deux couples étaient dans la même maison entre les HYVERNAUD maison 77 et BARDET Louis maison 82, mais là on se situerait à gauche de l'église et le local professionnel ne serait plus aussi local d'habitation. Cette maison pourrait être la 79 mais en 1936 la famille DARTHOUT n'est pas à Oradour. Je conclurais que les BARDET Jean et Pierre ont déménagé pour prendre le local 72. Catherine THOMAS épouse BARDET ne vivait pas à Bel Air.
ftbo
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Merci Marie-Line, c'est bien ce que je pensais, sans certitudes de toutes façons il suffira que les gens aillent lire les fiches de l'arbre pour voir ce que l'on en pense.
Cordialement,

Frédéric, modérateur Geneanet
lduverneuil
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ftbo skrev: 25 maj 2020, 15:59 Bonjour à tous et toutes

On peut sabler le champagne, les pages présentant le projet Oradour1944 sont désormais en ligne, avec notamment un accès par titre et un par maison.
Voici le lien direct : https://www.geneanet.org/explore/great-history-times/oradour

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Albert Valade dit que Jacques BOISSOU habitait La Croix des Bordes, or la Croix des Bordes, sur le plan des hameaux, fait partie des hameaux raflés (il est entouré en noir). Sur d'autres membres de la famille il était écrit qu'ils habitaient aux Bordes et pas à La Croix des Bordes.
Marie BARATAUD est aussi dite habitant la Croix des Bordes "hameau non raflé" et venue aux provisions.
Pierre BOISSOU est dit mécanicien aux Bordes et recensé aux Bordes en 1946 mais ça ne veut pas dire qu'il y habitait en 1944.
Le problème c'est que les deux hameaux sont très proches.
La grand-mère (Marguerite LAPLAUD) et la mère (Marie BARATAUD) ont été tuées, le mari et un fils sont vivants, Jacques était à vélo "près des Bordes" et il a pu s'enfuir. La fille était à l'école et elle est morte.

Mes questions :
- si La Croix des Bordes n'a pas été raflé, peut-on affirmer que les 2 femmes étaient allées au provisions ? D'où vient cette affirmation, est-ce que cela a été lu quelque part ou c'est juste une supposition ?
- d'où vient également l'affirmation que le hameau n'a pas été raflé ?
- si le hameau a bien été raflé, dans ce cas où étaient les 2 hommes survivants ?

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Les Gaillot vivent au Mas Ferrat sur Geneanet et à La Basse Forêt sur le Maitron

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Pierre léonard Dupic : pourquoi était-il au bourg (il a 76 ans ?)

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J'ai un doute ancien sur Bel-Air, le hameau a-t-il été raflé ou non, car il y a beaucoup de victimes qui y habitaient. Peut-être juste une partie ?

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Françoise CHEVALIER vivait chez sa petit-fille Germaine BOIS ?

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Enfin les cabinets de médecine DESOURTEAUX, je ne comprends plus : il y a le bâtiment 67 mais il y a aussi le 12 ? Le 12 était-il en fait des garages ? C'est un bien grand bâtiment...

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Voilà, pour le reste j'ai fait pour le mieux et j'espère que tout est correct au niveau des habitants des maisons.
Les courageux(ses) pourront regarder, pour le reste je peux modifier tout ce qu'il y a tant qu'on voudra, il n'y a pas péril en la demeure s'il y a des erreurs.

Je vais envoyer la liste des victimes définitive à Mme Gibouin et lui signaler cette mise en ligne. J'espère que cela les intéressera.
Bravo pour le travail accompli ; si nous avons du temps pour vérifier et corriger, c'est bien parce qu'il y a toujours des erreurs.

Pour la Croix des Bordes : c'est à l'embranchement de la route et , dans les recensements, les habitants sont regroupés avec les Bordes..pareil pour le Mas de l'Arbre, toujours aux Bordes. Les Allemands sont sûrement venus jusqu'à la Croix des Bordes et même un peu plus loin au Mas de l'arbre puisque Blanche Taillandier (Dupin) les rencontre et elle habite chez les Thomas/Dupuy qui vivent au Mas de l'Arbre.

Pour Bel-Air, la ferme n'est pas brûlée; on la voit sur les premières photos de la reconstruction (année 1948); elle est détruite ensuite puisqu'elle se trouvait dans l'emprise du nouveau bourg et on l'a reconstruite plus au nord .
Je joins des photos de piètre qualité : on voit sur 1 et 2, en haut, à gauche, le hameau de La Lande puis dans la courbe que fait la rue principale, on distingue cette ferme au milieu des maisons en construction...sur la 3 en haut, à droite, on distingue la nouvelle ferme Bel Air.

Frédéric, il faut absolument citer André Désourteaux, seul survivant de cette vaste famille, qui a fait un travail énorme sur Oradour. Je l'ai rencontré, il m'a confié un document que j'ai mis sur le forum, je crois et c'est un véritable historien d'Oradour.
Bilagor
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Ferme Bel Air 2.jpg
Ferme Bel Air 3.jpg
Croix des Bordes Mas de l'Arbre.jpg
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